Laîla Gwen

nom: Gwen

prénom: Laîla

planête: Tornos

race: Elfe

apparence physique: [ excusez moi... je n'ai pas encore d'avatar...]

caractère: laîla a toujours aimer se faire remarquer. enfin, ce faire remarquer par la mode... elle se dit "rebelle", même si son attitude ne consiste qu'à répondre quand quelqu'un lui dit de faire quelque chose quelle n'a pas envie. elle méprise parfois beaucoup les filles qui lui semble trop "gamines", en les jugeant sur l'apparence, et comment elles sont habilées. elle aime aussi beaucoup [ excusez moi ... je n'ai pas fini...]

histoire: Laîla vient d'une famille bourgeoise, noble, descendant de la race Elfe. Ses parents lui ont toujours offert ce quelle désirait, ce qui as fait d'elle à son plus jeune àge une enfant incroyablement gâtée. Quand elle grandit, elle rencontra une chose que ne pouvait pas lui offrir ses parents: le coeur d'un garçon. Ceci l'irrita beaucoup, et persuadée qu'elle pouvait obtenir tout ce qu'elle voulait, elle se créa une identité plus affectueuse à l'apparence, dont elle prit énormément d'attention. Elle s'habilla de façon plus extravagante, pour ne pas dire plus "sexy". Elle eut beaucoup de petits amours qui ne duraient que très peu de temps, ces même amours qui allaient parfois plus loin que les histoires amoureuses des filles de son âges. Les parents de Laîla étaient très admirateurs de leur fille unique, et riaient même de ses attitudes. La jeune fille était passé par de nombreux collèges, pensionnats, internats, écoles privés, lycées... car elle y séjournait à peu près un an, puis, jugeant l'endroit où elle était , trouvant les personnes qui s'y trrouvait aussi pas assez "cool", les garçons pas génials, l'établissement délabré, elle partait et recherchait une autre université. Elle ne s'était jamais trop occupé de ses pouvoirs,et ne les utilisaient que rarement. Mais elle appris un jour par un domestique de sa demeure, qu'une nouvelle école de magie venait d'ouvrir ses portes. Cela lui sembla assez convenable, ainsi, elle demanda, ou plutôt ordonna, à ses parents de l'inscrire, ce qu'il acceptèrent sur le champs.